Un sure nombre de professionnels du tourisme de la région de Merzouga, qui fait administrativement partie de la province d’Errachidia, ont révélé que la région, connue dans le monde entier pour ses sables dorés, a été choisie par plus de 8 000 touristes étrangers et marocains pour passer le réveillon du Nouvel An, “Banani Nuit”.
Les professionnels de la sphère touristique et des companies annexes de la région et des communes ont enregistré une affluence de milliers de touristes, notamment étrangers, qui ont choisi cette zone « sablonneuse » pour fêter la nouvelle année, soulignant qu’un nombre essential de transactions financières ont été enregistrées dans le région pendant la “Nuit d’Al-Bunani” grâce à cet afflux, sur quelle région il a appris pour la première fois. Une fois après la crise avec le coronavirus.
Moubarak Usidi, affiliation et acteur professionnel dans le domaine du tourisme, a indiqué que la région connaît tout au lengthy de l’année un afflux de touristes en provenance de différentes villes du Maroc et de pays étrangers, soulignant que « la célébration du Nouvel An 2023 a grandement contribué à la création d’un nombre report de touristes après de nombreuses années de stagnation”. À la suite des conséquences de la pandémie de Corona.
Assidi a ajouté dans un communiqué Hespress que “les touristes qui ont passé le réveillon dans les établissements touristiques de la région de Merzouga leur ont fourni toutes les circumstances disponibles pour passer cette nuit de la meilleure façon potential”, notant que “les professionnels, sans exception, ont fait de gros efforts pour accueillir les touristes du monde entier” et les villes du Maroc.
Plusieurs professionnels du tourisme ont convenu à l’unanimité que la célébration du Nouvel An à Merzouga s’est déroulée dans “des circumstances très normales et excellentes en termes d’accueil et de célébration”, soulignant que la réussite de cet événement est liée au travail conjoint des touristes eux-mêmes, des touristes establishments, la Gendarmerie Royale, les collectivités locales et autres collectivités, qu’il s’agisse du sol ou de la sécurité, les élus et les associations de la société civile.