

Une famille de gorilles de montagne dans le Parc National des Volcans, au Rwanda
Steph Baker/Faune et Flore International
Aujourd’hui, c’est la Journée mondiale de la vie sauvage, l’occasion de célébrer étonnante variété de plantes et d’animaux par terre. La journée marque également le 50e anniversaire de l’accord international entre les gouvernements pour réglementer le commerce des animaux et des plantes sauvages – estimé à une valeur milliards de dollars américains dans le monde – ne menace pas la survie de l’espèce.
Accord volontaire, dit Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d’extinction (CITES), offre divers degrés de protection à plus de 37 000 espèces dans le monde. Le texte de la convention a été convenu lors d’une réunion le 3 mars 1973 et est entré en vigueur en 1975. Il fournit un cadre pour 184 participants – incl. ChineÉtats-Unis et Union européenne – assurez-vous commerce durable d’espèces sauvages pour des produits tels que la nourriture, les fourrures, le bois et les médicaments.
“Sans la CITES, nous manquerions d’un mécanisme vital pour arrêter l’exploitation continue et tragique des espèces motivée par la demande du marché”, a-t-il déclaré. Abigaïl Entwistle à l’organisme de bienfaisance pour la conservation Fauna & Flora International (FFI) dans un communiqué de presse.
Le gorille des montagnes (Gorille beringei beringei) est l’une des espèces faisant l’objet d’une interdiction totale de commerce en vertu de la CITES en coopération avec la FFI. Depuis lors, la taille de la population a quadruplé pour atteindre plus de 1 000 individus. Les primates peuvent être trouvés errant sur les pentes vertes volcaniques du Rwanda avec des femelles elles donnent naissance à un ou deux enfants à la fois, comme on le voit sur la photo ci-dessus du parc national des volcans du Rwanda. Cette espèce peut également être trouvée en Ouganda et en République démocratique du Congo.

Hippopotame pygmée photographié la nuit à l’aide d’un piège photographique
Faune & Flore International
hippopotame nain (Choeropsis liberiensis), qui mesure environ 1 mètre de haut, est également protégé par la CITES. Ce sont des herbivores trouvé dans les forêts et les marécages d’Afrique de l’Ouest, dont la majorité vit au Libéria, comme le montre la photo du piège photographique ci-dessus. La CITES et la FFI travaillent avec les communautés locales pour surveiller et protéger les animaux nocturnes.
Les défenseurs de l’environnement ont récemment confirmé que les hippopotames pygmées ont une distribution plus large qu’on ne le pensait auparavant. Ils ont trouvé de l’ADN d’hippopotame pygmée sur 10 sites dans le sud-est du Libéria en utilisant la technologie promue par l’entreprise NatureMetrics cela aidera les efforts de conservation de l’espèce.

Iguane rhinocéros rose grenadine mâle adulte (Iguana insularis insularis) sur Palm Island, Saint-Vincent-et-les Grenadines
Jenny Daltry
Iguane rhinocéros rose Grenadine mâle (Iguane insularis insularis) peut être vu sur la photo ci-dessus prise à Palm Island à Saint-Vincent-et-les Grenadines dans les Caraïbes. L’espèce frappante est menacée par le braconnage et la concurrence de l’iguane vert non indigène (Iguane Iguane) pour la nourriture et la terre, mais ne bénéficie toujours pas de la protection CITES.
Depuis 2016, FFI travaille avec des partenaires locaux et internationaux pour protéger l’espèce. L’organisation caritative affirme que “l’inscription à la CITES serait la prochaine étape logique” pour assurer sa survie.
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